Karen and Paul allowed us to live our American Dream.

When I first applied to the WPJA membership, it was mainly a matter of self-achievement. I wanted to say : « Yeah! I can compete with the best wedding photographers in the world! ». I never imagined that it would lead me to shoot a wedding away from Martinique.

Beautiful weather, great location, fine rooms, gorgeous couple. Everything was as we had imagined for the perfect wedding. All we had to do was be there and capture the beautiful moments Karen and Paul offered us.

We had a wonderful time with them and we are really grateful for this.

Now Vera (Vera is Karen’s mom), you should NOT read what follows.

When Karen was getting ready, her girlfriends and her sister were around, chatting about girl things. Yes, OK! I mean sex. Man, I wish I had studied harder during my English classes because I could only get one word or two. Anyway, I guess I was discrete enough for the girls to act as if I wasn’t there. And that is the most important thing.

Once again, Karen, Paul, we cannot thank you enough for having shared this day with us. We wish you the best.

Frédéric.

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« Karen et Paul nous ont fait vivre notre rêve américain.

Quand j’ai posé ma candidature à la WPJA, c’était surtout une question d’accomplissement personnel. Je voulais pouvoir dire: « OK, je peux rivaliser avec les meilleurs photographes de mariage du monde ! ». Pour autant, je n’aurais jamais imaginé que cela me conduirait à photographier un mariage hors de Martinique.

Un temps magnifique, un cadre agréable, de belles chambres, un couple superbe. Tout était comme nous l’avions imaginé pour le mariage parfait. Nous n’avions rien d’autre à faire que d’être là et de capter les beaux moments que Karen et Paul nous offraient.

Nous avons passé un merveilleux moment avec eux et nous leurs sommes vraiment très reconnaissants pour cela.

Maintenant Vera (Vera est la mère de Karen), vous ne devriez pas lire ce qui suit.

Lorsque Karen se préparait, ses amies et sa sœur l’entouraient, discutant avec elle de choses de filles. Bon, OK ! Elles parlaient de sexe. @#!!@#!!*, j’aurais mieux fait d’avoir mieux suivi mes cours d’anglais : je ne comprenais qu’un mot sur deux. Quoi qu’il en soit, je suppose que j’ai été si discret que les filles ont fini par oublier ma présence. Et c’est ça le plus important.

Encore une fois, Karen, Paul, nous ne pouvons pas vous remercier assez pour avoir partagé cette journée avec nous. Nous vous souhaitons le meilleur. »

* zut, flute, mince (au choix)

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